Le diplomate et avocat espagnol Miquel Capellà (photographie : Diario de Mallorca)
L’on apprenait ce lundi 2 mars 2020 le décès à Palma de Majorque (îles Baléares) du diplomate et avocat espagnol Miquel Capellà Moià à l’âge de 73 ans. Il était né dans la capitale de la communauté autonome en 1946 et était licencié en droit auprès de l’Université autonome de Barcelone avec un diplôme obtenu en 1974. Après avoir ouvert son cabinet à Palma de Majorque en 1987, il s’associe à son coreligionnaire Josep Melià Pericàs.
En 1986, il est nommé vice-président du Conseil social de l’Université (Consejo Socialde la Universidad) des îles Baléares, poste qu’il occupe jusqu’en 1990. En 1999, il devient président de la Caisse d’Épargne et du Mont de Piété des Baléares (Caja de Ahorros y Monte de Piedad de Baleares) et, en 2006, il est choisi comme consul honoraire de la République de Croatie à Palma de Majorque.
Un chien devant le temple égyptien de Debod, à Madrid (photographie : Madrid Secreto)
Selon le classement établi par le site Internet European Best Destinations, qui promeut et assiste le tourisme sur tout le continent européen, la Communauté de Madrid est l’une des régions les plus accueillantes pour les animaux domestiques amenés par les touristes. Concrètement, la capitale espagnole et son agglomération arrivent en sixième position, avec trois cents quarante hôtels acceptant chiens, chats et autres mascottes.
La ville se retrouve derrière les cités et régions suivantes :
Le footballeur espagnol Sergio Ramos (photographie : RMC Sport et BFM TV)
À la fin de l’année 2019, la revue sportive française France Football a élaboré son « onze idéal » de la décennie dans cette discipline, y incluant quatre joueurs espagnols :
Sergio Ramos García, né à Camas (province de Séville, Andalousie) en 1986, qui joue actuellement au Real Madrid ;
Iker Casillas, né à Móstoles (Communauté de Madrid) en 1981, qui est aujourd’hui gardien de but au F.C. Porto (Portugal) ;
Andrés Iniesta Luján, né à Fuentealbilla (province d’Albacete, Castille-La Manche) en 1984, qui joue actuellement au Vissel Kobe (Japon) ;
Xavier Hernández Creus (dit « Xavi »), né à Tarrasa (province de Barcelone, Catalogne) en 1980, qui est actuellement entraîneur du club Al-Sadd de Doha (Qatar).
Il faut y ajouter deux footballeurs étrangers qui officient au Real Madrid, à savoir le Brésilien Marcelo Vieira (dit « Marcelo ») et le Croate Luka Modrić.
La sélection nationale espagnole de handball masculin soulève son deuxième trophée continental (photographie : Anders Wilkund, EFE et El Mundo)
Ce dimanche 26 janvier 2020, à la Tele2 Arena de Stockholm (Suède), la sélection nationale espagnole de handball masculin a remporté son deuxième championnat d’Europe dans sa discipline en battant la Croatie au terme d’un match très serré sur un score de 22 à 20. Le championnat se déroulait depuis le 9 janvier avec plusieurs rencontres Stockholm, Göteborg et Malmö (Suède), Trondheim (Norvège) ainsi que Vienne et Graz (Autriche). En phase de qualifications, au sein du groupe B, l’Espagne a défait la Lettonie, l’Allemagne et les Pays-Bas.
Lors du tour principal, au sein du groupe I, elle a battu la République tchèque, l’Autriche et la Biélorussie et a fait match nul contre la Croatie. En phase finale, elle s’est ensuite débarrassée de la Slovénie pour finir par vaincre la sélection croate lors de la dernière rencontre. Cette médaille d’or est également synonyme de qualification automatique aux Jeux olympiques de Tokyo (Japon), qui se déroulent cette année. Il s’agit du deuxième sacre continental de l’Espagne en handball masculin et de la deuxième médaille d’or européenne d’affilée, après celle remportée en 2018 en Croatie face à la Suède.
Auparavant, la sélection de notre voisin ibérique avait remporté quatre médailles d’argent (en 1996 à domicile, en 1998 en Italie, en 2006 en Suisse et en 2016 en Pologne) ainsi que deux médailles de bronze (en 2000 en Croatie et en 2014 au Danemark). En championnat du monde, l’Espagne a été sacrée à deux reprises : une fois en 2005 en Tunisie et une seconde fois en 2013 à domicile. Elle a également décroché la troisième place du podium en 2011 en Suède. Aux Jeux olympiques, les Hispanos ont obtenu par trois fois la médaille de bronze : Atlanta (États-Unis d’Amérique) en 1996, Sydney (Australie) en 2000 et Pékin (Chine) en 2008.
Un employé municipal nettoie les parties piétonnes de la Puerta del Sol, à Madrid (photographie : Telemadrid)
Selon les données contenues dans le septième rapport annuel élaboré par l’entreprise suisse d’intérim Adecco, le salaire moyen espagnol tourne aujourd’hui autour de 1 658 euros bruts par mois, soit 1,2 % de plus qu’en 2018 mais 20,7 % de moins que la moyenne des pays membres de l’Union européenne (UE). Exprimé en chiffres absolus, le décalage est ainsi de 433 euros, puisque la moyenne européenne s’élève actuellement à 2 091 euros bruts par mois. Au cours de la dernière année, l’écart entre salaire mensuel moyen espagnol et salaire mensuel moyen européen a crû de 2,7 %.
Néanmoins, près de quinze pays membres de l’Union européenne affichent un salaire mensuel brut moyen inférieur à celui de notre voisin ibérique. Concrètement, les nations suivantes se trouve en-dessous de l’Espagne dans ce classement : la Bulgarie, la Roumanie, la Lituanie, la Hongrie, la Lettonie, la Pologne, la Croatie, la Slovaquie, l’Estonie, la République tchèque, le Portugal, la Grèce, la Slovénie, Malte et Chypre. L’Espagne, de son côté, se trouve juste en-dessous de l’Italie.
Le jour de tennis espagnol Rafael Nadal lors d’un match en Coupe Davis, en novembre 2019 (photographie : Juanjo Martín, EFE et El País)
La nouvelle formule de la Coupe Davis, qui se déroulait à la Boîte magique (Caja Mágica) de Madrid, a permis à l’Espagne d’obtenir son sixième sacre dans la compétition à domicile. C’est Rafael Nadal qui a formellement apporté la victoire à son pays, contre le Canada, en battant Denis Shapovalov en deux sets, au terme d’un jeu décisif interminable. Quelques heures auparavant, son compatriote Roberto Bautista s’était débarrassé du Canadien Félix Auger-Aliassime.
Outre Nadal et Bautista, Marcel Granollers et Feliciano López faisaient partie de l’équipe nationale espagnole. L’Espagne a d’abord vaincu la Russie puis la Croatie en phase de groupes avant de s’imposer contre l’Argentine en quarts de finale et le Royaume-Uni en demi-finales. Les précédents titres de Coupe Davis remportés par l’Espagne ont été gagnés en 2000, 2004, 2008, 2009 et 2011. Seuls les États-Unis d’Amérique (32 titres), l’Australie (28 titres), la France (10 titres), le Royaume-Uni (10 titres) et la Suède (7 titres) ont fait mieux que notre voisin ibérique.
Une église de la ville de Bailén, dans la province de Jaén, en Andalousie (photographie : Alfarería Núñez)
Dans le cadre du concours international Evooleum, organisé par le groupe éditorial spécialisé Mercacei-Edimarkt (sis à Madrid), un guide des meilleures huiles d’olive du monde a été édité pour l’année 2020. L’on y retrouve 81 huiles espagnoles, 12 venant d’Italie, 4 en provenance du Portugal, deux de Croatie et une de Slovénie. Et la meilleure en catégorie absolue vient de l’autre côté des Pyrénées. Il s’agit de l’Oro Bailén Picual, confectionnée sur le territoire de la commune de Bailén, dans la province de Jaén (Andalousie).
En vente pour moins de dix euros, elle a également remporté le concours dans diverses autres catégories (meilleure huile d’olive issue d’une seule variété, meilleur fruité, meilleure picual et meilleure huile d’olive espagnole). D’autres huiles espagnoles achetables pour moins de dix euros se retrouvent dans ce guide :
Une portion de la voie rapide espagnole A-6 (dite « voie rapide du Nord-Ouest », « autovía del Noroeste »), qui relie Madrid à Arteijo, dans la province de La Corogne, en Galice (photographie : Wikipedia)
Selon un rapport publié au mois de septembre 2019 par le Forum économique mondial, organisation à but non lucratif sise à Genève (Suisse), l’Espagne fait partie des meilleurs pays au monde concernant l’état et la qualité de ses infrastructures routières. Pas moins de 137 pays ont été analysés par l’organisme pour élaborer ce classement correspondant à l’année 2018 et les experts chargés de sa rédaction ont pris en compte divers critères comme l’état concret du revêtement, la signalisation ou encore le nombre de kilomètres assurés par des autoroutes ou des voies rapides. Les deux pays en tête de ce classement sont les Émirats arabes unis et Singapour.
L’on retrouve ensuite la Suisse et, un peu plus bas, l’Espagne avec une note de 5,5 sur 7. Il s’agit de la même note que d’autres nations comme le Qatar, la Suède, la Croatie et le Luxembourg mais notre voisin ibérique se retrouve ainsi devant la Finlande, le Canada ou le Royaume-Uni. Les pays disposant des pires infrastructures routières sont, toujours selon ce classement, la Mauritanie, la République démocratique du Congo, Haïti, Madagascar et la Guinée.
La Boîte magique (« Caja Mágica »), qui accueille chaque année le tournoi de tennis de Madrid (photographie : Twitter et As)
Du 18 au 24 novembre prochain, la ville de Madrid accueillera la phase finale de la Coupe Davis, l’une des principales compétitions de tennis au monde, après en avoir décroché l’organisation pour deux années consécutives (2019 et 2020). La capitale espagnole inaugure ainsi le nouveau format du tournoi au sein de la Boîte magique (Caja Mágica), qui abrite déjà chaque année le Masters 1 000 de Madrid.
Dix-huit pays vont ainsi mesurer leurs forces : Espagne, France, Serbie, Japon, Croatie, Russie, Argentine, Allemagne, Chili, Belgique, Australie, Colombie, Royaume-Uni, Kazakhstan, Pays-Bas, États-Unis d’Amérique, Italie et Canada. Des célébrités mondiales du filet seront présentes, à l’instar de Novak Djokovic (Serbie), Daniil Medvedev (Russie) ou encore Kei Nishikori (Japon). L’équipe d’Espagne, pour sa part, sera composée de Rafael Nadal, Roberto Bautista, Pablo Carreño, Feliciano López et Marcel Granollers.
La façade occidentale de la basilique Saint-Vincent d’Ávila, en Castille-et-León (photographie : Wikipedia)
Sise à Bruxelles (Belgique), l’entreprise Best European Destination parcourt régulièrement l’Europe en quête des plus belles communes, des plus beaux bâtiments ou des plus beaux sites naturels dans différentes catégories. Dernièrement, la firme a établi une liste des 19 plus belles villes médiévales à ses yeux à partir d’un ensemble de 300 communes et deux d’entre elles sont espagnoles.
Il s’agit en premier lieu d’Ávila, capitale de province de Castille-et-León, célèbre pour ses églises et ses remparts médiévaux ; et en second lieu de Besalú, commune de 2 500 habitants environ située dans la province de Gérone (Catalogne), très connue pour son pont en pierre. Parmi les autres villes sélectionnées, l’on retrouve San Gimignano (Italie), Rocamadour (France) ou encore Dubrovnik (Croatie).