L’Espagne contrôle pour l’Union européenne la chute de la station spatiale chinoise Tiangong-1

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Le logo du Centre pour le Développement technologique industriel (CDTI) – Photographie : Empresarios jóvenes de Valencia

Abandonnée depuis 2016, la station spatiale chinoise Tiangong-1 erre dans l’espace planétaire depuis lors et doit rentrer dans l’atmosphère terrestre le 1er avril pour s’y désintégrer. Il existe des risques de collision modérés et c’est pourquoi plusieurs centres surveillent et coordonnent cette chute sur l’ensemble du globe. Pour l’Union européenne, l’exclusivité de cette tâche a été réservée au Centre espagnol de Surveillance et de Suivi spatial (CEVS), situé sur la base militaire de Torrejón de Ardoz, dans la banlieue orientale de Madrid, et qui dépend du Centre pour le Développement technologique industriel (CDTI).

C’est seulement à 120 kilomètres de distance de la surface terrestre que la station Tiangong-1 va pouvoir être réellement suivie à la trace par les agences spatiales du monde entier et que l’on pourra déterminer avec exactitude sa vitesse de chute, sa trajectoire et le point d’atterrissage de l’essentiel de l’appareil. Pour ce faire, le CEVS utilisera les données radar recueillies en Espagne, en Allemagne, en France et en Italie, deux télescopes (situés outre-Pyrénées et de l’autre côté des Alpes) ainsi que trois stations laser (située en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni).

Source : https://elpais.com/elpais/2018/03/29/ciencia/1522317125_762998.html

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Gibraltar menace l’Espagne de mesures de rétorsion si cette dernière applique son droit de veto concernant le Brexit

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Le chef du gouvernement gibraltarien, Fabian Picardo (photographie : The Gibraltar Olive Press)

Selon des informations fournies par l’édition en ligne du quotidien britannique The Guardian, le chef du gouvernement de Gibraltar, Fabian Picardo, aurait menacé l’Espagne de mesures de rétorsion si cette dernière fait usage de son droit de veto dans le cadre de la sortie du Royaume-Uni hors de l’Union européenne (le Brexit). Habitué aux saillies excessives et aux rodomontades depuis des années, il a fait savoir, par la bouche de son vice-Premier ministre, Joseph Garcia, que le Rocher (Peñón) est prêt à aller jusqu’aux cours d’arbitrage internationales s’il le faut pour empêcher notre voisin ibérique d’acquérir la moindre parcelle de souveraineté sur Gibraltar.

Le territoire britannique d’outre-mer pourrait ainsi retirer aux citoyens de l’Union européenne présents sur son sol le statut spécifique dont ils jouissent aujourd’hui mais également ne pas financer les pensions de retraite des Espagnols ayant travaillé pour une entreprise gibraltarienne avant 1969 (date de la fermeture provisoire de la frontière terrestre entre l’Espagne et le Rocher). Le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy (Parti populaire) veut depuis plusieurs années se mettre d’accord avec le cabinet britannique concernant une souveraineté partagée sur cette langue de terre, paradis de tous les trafics, qui a été arrachée à notre voisin pyrénéen par Londres en 1704.

Source : http://www.abc.es/espana/abci-brexit-gibraltar-plantea-rescindir-derechos-ciudadanos-europeos-si-veto-espana-segun-guardian-201803161003_noticia.html

18,5 milliards d’euros : c’est la facture du mouvement séparatiste catalan pour l’ensemble de l’Espagne

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L’ancien président de la Généralité de Catalogne, Carles Puigdemont (à droite), sur son siège du Parlement régional catalan, à Barcelone, en compagnie de l’ancien vice-président de la Généralité et ancien conseiller régional à l’Économie et aux Finances, Oriol Junqueras (photographie : EFE et Libre Mercado)

Ce jeudi 15 mars, l’association unioniste Société civile catalane (SCC) a publié aux côtés du groupe de réflexion Civismo une étude sur le coût économique du mouvement séparatiste catalan pour l’ensemble de l’Espagne et pour la communauté autonome en particulier. L’on sait depuis un moment déjà que le séparatisme est une très mauvaise affaire pour les Catalans, qui subissent les contrecoups économiques du référendum indépendantiste illégal et illégitime du 1er octobre 2017. Selon le rapport susnommé, rien que pour l’année 2017, la facture du processus sécessionniste avoisinerait les 828 millions d’euros – estimation très proche de celle faite par l’ancien ministre espagnol de l’Économie, de l’Industrie et de la Compétitivité, Luis de Guindos (Parti populaire), en son temps.

Toutefois, la SCC et Civismo ont cherché à aller plus loin en prenant en compte tous les dégâts économiques causés par le mouvement indépendantiste depuis 2004, année durant laquelle les dirigeants de la Généralité de Catalogne ont commencé à parler d’un nouveau statut d’autonomie. Leur estimation conjointe s’élève alors à 18,535 milliards d’euros. En d’autres termes, la communauté autonome aurait apporté plus de 18 milliards d’euros en moins à l’ensemble de l’Espagne entre 2004 et 2017. La Catalogne elle-même est évidemment la région la plus touchée du pays. En 2017, la Communauté de Madrid a représenté 0,91 % sur les 3,1 % de croissance de l’Espagne, contre 0,84 % pour la Catalogne.

Source : https://www.libremercado.com/2018-03-16/el-auge-del-separatismo-catalan-cuesta-mas-de-18500-millones-de-euros-a-la-economia-espanola-1276615534/

La Barcelona World Race n’aura pas lieu en 2019 en raison des tensions politiques en Catalogne

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L’un des bateaux de la Barcelona World Race dans le port de plaisance de Barcelone, en Catalogne (photographie : Gianluca Battista et El País)

C’est le directoire de la Fondation de la Navigation océanique de Barcelone (FNOB) qui l’a annoncé ce jeudi 29 mars : la Barcelona World Race, l’une des principales régates d’Espagne, qui devait lever l’ancre sur le littoral de la capitale catalane en janvier 2019, n’aura pas lieu l’année prochaine. Organisée depuis 2007, cette course de catamarans est la seule avec deux membres d’équipage et qui prenne son départ et arrive à Barcelone. En cause, le séparatisme catalan, qui a provoqué une instabilité politique dans la région et dans tout le pays et n’aide pas à définir clairement quels sont les budgets alloués à telle ou telle manifestation.

La prolongation du budget de l’État 2017 pour la présente année et l’absence de budgets réels en Catalogne depuis des années ont grandement complexifié la recherche de sponsors et de partenaires pour les organisateurs de l’événement. La décision de suspendre la régate a été formellement prise le 22 mars dernier par la municipalité de Barcelone, la chambre de commerce de la ville, le port de la cité catalane et la foire de Barcelone. Par ailleurs, cette annulation a de nouveau provoqué des remous au sein du conseil municipal, où le maire, Ada Colau (Barcelone en Commun, liste soutenue par Podemos), a été attaqué à ce sujet.

Source : https://elpais.com/ccaa/2018/03/29/catalunya/1522316851_326118.html

L’Estrémadure entame la construction de son premier parc éolien

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La directrice du Département des Ressources humaines de Gas Natural Fenosa, Rosa Sanz, pose la première pierre du parc éolien Merengue en présence, entre autres, de l’actuel président de la Junte d’Estrémadure, Guillermo Fernández-Vara (Parti socialiste ouvrier espagnol – à sa gauche) – Photographie : Cinco Días

C’est ce mercredi 14 mars qu’a été inauguré le chantier de ce qui sera une fois achevé le premier parc éolien d’Estrémadure, baptisé « Merengue » (du nom de l’élévation sur laquelle il sera installé), situé sur le territoire de la commune de Plasencia, dans la province de Cáceres. Il s’agira aussi du premier parc éolien d’Espagne à ne pas recevoir de prime à la production d’électricité et du premier construit sous le nouveau régime d’appel d’offres mis en place par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy (Parti populaire). Visible depuis l’échangeur entre la voie rapide A-66 (dite « Voie rapide de la Route d’Argent ») et la route régionale EX-A1, ce parc est bâti par l’entreprise espagnole Gas Natural Fenosa.

Étaient présents à l’inauguration des travaux, entre autres personnalités, l’actuel président de la Junte d’Estrémadure, Guillermo Fernández-Vara (Parti socialiste ouvrier espagnol) ; son prédécesseur à ce poste, José Antonio Monago (Parti populaire) ; le directeur général des Contrats majeurs de Gas Natural Fenosa, Manuel Fernández ; sa directrice des Ressources humaines, Rosa Sanz ; et celle du Département des Énergies renouvelables, Ana Peris. Aux côtés de l’Aragon, l’Estrémadure est la communauté autonome espagnole où Gas Natural Fenosa s’investit le plus ces dernières années avec deux autres projets d’énergies « vertes » : l’entreprise construit également une centrale solaire à Las Jaras, zone située entre Badajoz et La Albuera, ainsi qu’une autre à Miraflores, sur le territoire de la commune de Castuera.

Source : https://cincodias.elpais.com/cincodias/2018/03/15/companias/1521142737_662539.html

Les autorités séparatistes catalanes ont davantage dépensé dans l’indépendance que dans les logements sociaux

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Des immeubles d’habitation en construction en Catalogne (photographie : EFE et Crónica Global)

Durant toutes les années marquées par le défi indépendantiste et par les gouvernements d’Artur Mas et Carles Puigdemont (2012-2017), la Catalogne a dépensé davantage d’argent dans la sécession et les « structures d’État » a priori nécessaires à cet objectif (Trésor public propre, services secrets, etc.) que dans les logements sociaux. C’est un nouveau pavé dans la mare pour les séparatistes, qui prétendent depuis trop longtemps que la politique sociale de la Généralité de Catalogne est bien supérieure à celle de l’État espagnol. Entre 2012 et 2017, celle-là a pourtant coupé de façon massive dans les investissements en matière d’habitations à loyer modéré et se trouve aujourd’hui à la tête des expulsions d’Espagnols hors de leur logement.

L’année dernière, la part du budget régional consacrée aux logements sociaux était moitié moindre que celle de 2008, avec une somme de 30,6 millions d’euros, soit 0,63 % de ses dépenses, destinée à l’accès l’éducation publique et à un appartement digne. La Catalogne est ainsi en queue de peloton parmi les communautés autonomes espagnoles, uniquement devant les îles Baléares (0,43 %), la Communauté de Valence (0,51 %), la Castille-et-León (0,56 %) et la Castille-La Manche (0,56 % aussi). À titre de comparaison, la Communauté de Madrid a dépensé 411 millions d’euros en la matière en 2017, soit 2,01 % de son budget.

Par ailleurs, selon les données officielles du Conseil général du Pouvoir judiciaire (CGPJ), la Catalogne est l’autonomie espagnole où le plus de citoyens se sont fait expulser de leur logement pour impayé, avec 3 140 cas de ce genre en 2017. Elle se trouve devant l’Andalousie (2 581 expulsions), la Communauté de Valence (2 099) et la Communauté de Madrid (1 587). Un comble lorsque l’on sait par exemple que l’actuel maire de Barcelone, Ada Colau (Maintenant Barcelone, liste soutenue par Podemos), s’est fait élire notamment sur la promesse de réduire drastiquement le nombre d’expulsions.

Source : https://cronicaglobal.elespanol.com/politica/govern-gasto-ocho-veces-estructuras-estado-vivienda-social_127394_102.html

Le Ministère espagnol de l’Intérieur va protéger des responsables unionistes de Catalogne

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Le premier secrétaire du Parti des Socialistes catalans (PSC – au premier plan), Miquel Iceta, et le président du Parti populaire de Catalogne (derrière lui), Xavier García Albiol (photographie : Massimiliano Minocri et El País)

Après les juges catalans (et le membre de la Cour suprême espagnole Pablo Llarena), ce sont désormais les hommes politiques unionistes de Catalogne qui vont recevoir une protection officielle de la part de l’État central espagnol face aux menaces qu’ils reçoivent de la part d’indépendantistes radicaux. Le ministre de l’Intérieur, Juan Ignacio Zoido (Parti populaire), a ainsi envoyé dans la communauté autonome des renforts de l’Unité centrale de Protection (UCP) qui viendront jouer le rôle de gardes du corps pour des élus du Parti des Socialistes catalans (PSC), de Citoyens (C’s) et du Parti populaire (PP).

Vingt nouveaux policiers viennent ainsi s’ajouter aux deux cents agents déjà en déplacement sur le terrain et protègent également un magistrat en charge du dossier du processus séparatiste, Juan Antonio Ramírez Sunyer. Dès le mois d’octobre 2017, une trentaine de policiers avait déjà dû être envoyée en Catalogne afin de faire face à la recrudescence des menaces à l’égard de ceux qui avaient le malheur de ne pas communier dans le sécessionnisme.

Source : https://politica.elpais.com/politica/2018/03/28/actualidad/1522261709_526783.html

L’Espagne cherche à défendre la présence de sa langue dans les institutions européennes

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L’actuel directeur de l’Institut Cervantes, Juan Manuel Bonet (photographie : Ignacio Gil et ABC)

L’actuel directeur de l’Institut Cervantes (organisme public chargé de promouvoir la langue et la culture de notre voisin ibérique dans le monde entier), Juan Manuel Bonet, a prononcé jeudi 15 mars à Bruxelles (Belgique) une conférence intitulée « L’espagnol dans le monde et dans l’Union européenne » (El español en el mundo y en la Unión europea) afin d’analyser la situation présente de la langue de Cervantes et ses formidables perspectives d’expansion dans un futur proche. Il a choisi pour ce faire un lieu symbolique, le siège de la Représentation permanente de l’Espagne auprès de l’UE, dans le but de promouvoir l’utilisation de l’espagnol au sein des institutions communautaires.

Alors que l’espagnol est aujourd’hui parlé en tant que langue maternelle par près de 500 millions de personnes sur la planète, la langue de Cervantes n’est pas une langue de travail de la Commission européenne, par exemple, ce qui est une aberration au regard des prétentions diplomatiques et culturelles de l’organisation. Juan Manuel Bonet a également rencontré plusieurs responsables du Département d’Espagnol de la Direction générale des Traductions de l’Union européenne, dont le président est José Luis Vega. Ils ont cherché à donner une nouvelle impulsion au projet Terminesp, qui vise à coordonner les efforts terminologiques en espagnol en matière institutionnelle, politique, technologique et scientifique. Juan Manuel Bonet a également prononcé une autre conférence, « Tintin en Espagne ou l’aventure qui n’a pas existé » (Tintín en España o la aventura que no fue).

Source : http://www.abc.es/cultura/abci-juan-manuel-bonet-viaja-bruselas-para-defender-presencia-espanol-organismos-europeos-201803150140_noticia.html

Des archives numériques cherchent à sauver de l’oubli les premiers habitants espagnols de l’actuelle Floride

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Une recréation des premiers Espagnols qui ont vécu dans l’actuelle Floride (dessin : La Florida et ABC)

En 1513, le conquistador et explorateur espagnol Juan Ponce de León débarquait sur les côtes de l’actuel État de Floride (États-Unis d’Amérique), devenant ainsi le premier Européen à fouler le sol de ce qui deviendrait plus tard la première puissance mondiale. C’était près d’un siècle avant que ne soit fondée la première colonie anglaise en Amérique du Nord, Jamestown, créée en 1607 dans l’actuel État de Virginie. Un projet d’archives numériques, lancé le 15 mars dernier à Washington D.C., cherche à récupérer ce passé hispanique encore trop méconnu des États-Unis d’Amérique.

Baptisé « La Florida », ce projet a pour objectif de réunir tous les documents concernant l’installation des Espagnols en Floride afin de comprendre qui étaient ces êtres faits de chair et d’os qui ont les premiers mis en valeur ce territoire pour le compte d’un État européen. Il s’agit d’archives numériques interactives destinées au grand public mais aussi utilisables comme ressource didactique pour les élèves américains ou espagnols. Cette initiative est promue par la Fondation La Florida, sise à St. Petersburg, en Floride, et elle a été rendue possible grâce à la technologie fournie par une entreprise madrilène, Edriel Intelligence. Ont aussi participé au projet l’Institut Nauta de Málaga (Andalousie) et l’Institut d’Histoire et de Culture militaires du Ministère espagnol de la Défense, aujourd’hui dirigé par María Dolores de Cospedal (Parti populaire).

Ces archives numériques ont jusqu’à présent permis de reconstituer la vie de 2 091 pionniers espagnols de Floride, qui ont traversé l’océan Atlantique en 1566 à bord d’une flotte commandée par le marin basque Sancho de Archiniega – qui dirigeait alors la plus grande expédition jamais réalisée dans le Nouveau Monde. La plupart de ceux qui en faisaient partie n’étaient pas de cruels et sanguinaires conquérants avides d’or et de pierres précieuses mais d’humbles Espagnols qui désiraient recommencer leur vie dans de nouvelles conditions.

Source : http://www.abc.es/cultura/abci-vidas-olvidadas-primeros-habitantes-florida-espanola-201803150142_noticia.html

L’Union internationale des Magistrats défend un juge de la Cour suprême espagnole face aux attaques des séparatistes catalans

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Le juge de la Cour suprême espagnole Pablo Llarena sur les marches de l’entrée principale de l’Audience provinciale de Barcelone, en Catalogne (photographie : Elena Carreras et ABC)

Ce mercredi 28 mars, l’Union internationale des Magistrats (UIM) a émis un communiqué dans lequel elle a condamné de façon « publique et sans équivoque possible » les actes de vandalisme et de violence subis par le juge de la Cour suprême espagnole Pablo Llarena près de son domicile privé et dans plusieurs tribunaux de Catalogne, actes perpétrés par des séparatistes catalans radicaux. Elle a par ailleurs officiellement demandé au gouvernement conservateur de Mariano Rajoy (Parti populaire) une protection pour Pablo Llarena, ce à quoi réfléchit actuellement le ministre de l’Intérieur, Juan Ignacio Zoido.

C’est suite aux attaques contre la maison de Pablo Llarena, située dans la commune de Das, dans la province de Gérone, que l’UIM a réagi afin de secourir l’un de ses membres. Il faut dire que ce magistrat de la Cour suprême est dans le collimateur des indépendantistes qui, abandonnant leurs prétentions concernant une « révolution des sourires », se montrent de plus en plus intransigeants et n’ont pas supporté que Pablo Llarena réactive le mandat d’arrêt européen contre l’ancien président de la Généralité de Catalogne, Carles Puigdemont, ce qui a permis son arrestation en Allemagne le 25 mars dernier. L’UIM a réitéré sa solidarité à l’égard des juges espagnols, notamment pour ceux qui travaillent en Catalogne.

Source : http://www.abc.es/espana/abci-union-internacional-jueces-condena-ataques-llarena-y-pide-proteccion-201803280200_noticia.html