L’élargissement d’un viaduc espagnol, l’un des chantiers d’ingénierie civile les plus difficiles au monde

1505967407_005838_1505967527_noticia_normal_recorte1
Le viaduc de Rande, l’une des plus belles réussites de l’ingénierie civile espagnole (photographie : El País)

Ouvert au trafic le 7 février 1981 entre les communes de Redondela et de Moaña, dans la province de Pontevedra (Galice), le pont de Rande (ou viaduc de Ronde) est un ouvrage d’art autoroutier majeur qui permet à des milliers de véhicules de traverser chaque jour la ria de Vigo en empruntant l’AP-9 (ou autoroute de l’Atlantique). Il était en son temps le plus long pont routier à haubans au monde et il est emprunté chaque année par cinq millions d’automobilistes (soit 6 300 véhicules par heure).

Long de six kilomètres en tout, il connaît désormais un processus d’élargissement afin de permettre à davantage de voitures de passer et ce chantier d’ingénierie civile est l’un des plus complexes au monde puisqu’il faut installer de nouveaux piliers à l’aide de grues qui culminent à 123 mètres de hauteur. Réalisés par l’entreprise Audasa, ces travaux ont démarré en février 2015 et devront coûter en tout et pour tout 143 millions d’euros.

Le chantier, qui ne s’arrête pas la nuit et ne suppose pas de désagréments majeurs pour les utilisateurs du pont, a été gelé pendant plusieurs mois suite à des désaccords entre les parties prenantes concernant la marche à suivre et la technologie à employer. Il faudra donc prévoir des retards dans ce qui est l’un des agrandissements de viaduc les plus hardis au monde.

Source : https://politica.elpais.com/politica/2017/09/21/diario_de_espana/1505967407_005838.html

Publicité

Le gouvernement espagnol veut davantage miser sur la formation professionnelle en alternance

fotonoticia_20161004142214_640
La reine Letizia lors de l’ouverture de l’année de formation professionnelle dans un centre de Mondoñedo, dans la province de Lugo, en Galice, en 2016 (photographie : Europa Press)

La formation professionnelle (souvent abrégée « FP » en espagnol) a traditionnellement été le parent pauvre du système éducatif espagnol. Selon les données fournies par l’Organisation pour la Coopération et le Développement économique (OCDE), seuls 12 % des élèves de notre voisin ibérique sont inscrits en cours de formation professionnelle et ce chiffre tombe à 0,4 % dans le cas de l’apprentissage en alternance. Pour faire face au taux de chômage qui touche le pays, le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy (Parti populaire) a tâché de promouvoir ces dernières années cette voie qui offre la possibilité à de jeunes gens souvent peu diplômés d’exercer un métier dans des secteurs qui recrutent. De fait, le nombre de personnes inscrites dans un cursus d’apprentissage en alternance n’a cessé de croître sur les six dernières années : il est passé de 4 292 en 2012-2013 à 23 973 en 2016-2017. Dans le même temps, le nombre d’entreprises qui accueillent les jeunes gens concernés a grimpé de 513 à 10 081.

C’est pour continuer à accompagner cet essor que le Ministère de l’Éducation, de la Culture et du Sport, dirigé par Íñigo Méndez de Vigo, a décidé de davantage miser sur la formation professionnelle en alternance par le biais d’un plan qui prévoit une augmentation radicale du budget qui lui est alloué. Ce dernier passerait ainsi d’un million d’euros en 2016 à 23 millions d’euros en 2018. L’actuel ministre de l’Éducation, de la Culture et du Sport prend ainsi la suite de son prédécesseur, José Ignacio Wert, qui avait déjà fait rédiger un décret-loi en ce sens en 2012. Afin de s’attirer plus de firmes collaboratrices, le Ministère prévoit d’accorder à celles qui formeraient des apprentis en alternance de nouvelles déductions fiscales, notamment si elles embauchent par la suite les personnes formées dans le cadre d’un contrat à durée indéterminée. Par ailleurs, Íñigo Méndez de Vigo veut renforcer la coopération entre compagnies et centres de formation, favoriser la constitution de consortiums de petites et moyennes entreprises dans le cadre de la formation, etc.

Source : http://www.abc.es/sociedad/abci-gobierno-impulsara-dual-presupuesto-23-millones-2018-201709250326_noticia.html

L’industrie espagnole des biens d’équipement récupère presque son niveau de ventes de 2007

cadena-montaje-kFpF--620x349@abc
Une chaîne de montage automobile en Espagne (photographie : ABC)

Depuis plusieurs années, l’industrie espagnole est sur une pente ascendante après des années difficiles et son dynamisme ne se dément pas ces derniers mois. En 2016, le secteur secondaire de notre voisin pyrénéen a enregistré un chiffre d’affaires de 53,3 milliards d’euros, soit une augmentation de 3,1 % par rapport à l’année 2015 et 86,4 % du chiffre d’affaires total de l’année 2007, qui a été la dernière avant l’éclatement de la crise de 2007. L’année dernière a donc été la quatrième année d’augmentation consécutive du chiffre d’affaires pour l’industrie de notre voisin ibérique – et ce secteur est crucial pour lui puisqu’il exporte 68 % de sa production et représente 14 % des exportations totales outre-Pyrénées. Selon l’organisation du patronat espagnol de l’industrie, Secorbe, cette augmentation est en partie due à la reprise de la consommation intérieure, qui s’est accrue de 7,5 % entre 2015 et 2016. L’année dernière, les entreprises industrielles espagnoles expliquaient 265 000 emplois directs et 500 000 emplois directs et indirects.

Environ 70 % des ventes de l’industrie de notre voisin pyrénéen à l’étranger se concentrent dans l’Union européenne, les États-Unis d’Amérique et le Canada, qui sont surtout intéressés par la technologie ibérique ainsi que par la qualité, la fiabilité et le prix des produits espagnols. La France reste la principale destination des exportations industrielles espagnoles (12,8 % du total), suivie de l’Allemagne (8,6 %) et du Royaume-Uni (8,2 %). Cette amélioration générale du secteur a permis d’augmenter les investissements productifs d’environ 2,2 %.

Source : http://www.abc.es/economia/abci-industria-bienes-equipo-culmina-rearme-y-acerca-ventas-2007-201709240111_noticia.html

L’Australie reçoit le premier navire de guerre construit par l’entreprise espagnole Navantia à l’étranger

navantia-trabajador-barco
Un navire de guerre construit par l’entreprise Navantia pour le Venezuela (photographie : El Economista)

C’est ce samedi 23 septembre que la Marine royale australienne a reçu le destroyer HMAS Hobart, navire de guerre de conception intégralement espagnole (il a été réalisé par le fleuron national Navantia) qui est le premier à être construit entièrement dans un autre pays que l’Espagne par cette compagnie. Concrètement, ce bateau a été intégralement monté dans les chantiers navals du Sud d’Adélaïde (Australie-Méridionale) sur les plans de la classe F-100 (dite « classe Álvaro-de-Bazán« ), ce qui prouve, selon le président de Navantia, Esteban García, la capacité de la firme à transférer des connaissances technologiques à l’étranger et à travailler dans le cadre de coopérations internationales.

La cérémonie de livraison du navire a été présidée par le Premier ministre australien, Malcolm Turnbull, dans la ville de Sydney. Y ont aussi assisté la ministre australienne de la Défense, Maryse Payne ; le ministre des Industries de la Défense, Christopher Pyne ; et le chef de l’état-major de la Marine australienne, l’amiral Tim Barret.

Source : http://www.eleconomista.es/empresas-finanzas/noticias/8627474/09/17/Australia-recibe-el-destructor-Hobart-primer-buque-espanol-construido-por-Navantia-en-el-extranjero.html

Le Parti populaire et le parti Citoyens se mettent d’accord sur une augmentation de la durée du congé paternité

téléchargé
Les pères espagnols pourront bénéficier, grâce à cette mesure, d’un temps supplémentaire pour être auprès de leur nouveau-né (photographie : RTVE)

Dans le cadre des négociations actuellement en cours concernant le budget de l’État espagnol pour l’année 2018, le parti Citoyens (C’s) et le Parti populaire (PP) se sont mis d’accord pour augmenter d’une semaine la durée du congé pour paternité en Espagne. Cette nouvelle augmentation porte désormais le congé paternité à cinq semaines au total – et cette mesure sera effective dès janvier 2018. Il s’agissait de l’une des principales revendications de la formation centriste et libérale présidée par Albert Rivera, qui s’est réjoui du fait que, pour la naissance de tout nouvel enfant, le père et la mère pourront ainsi cumuler à eux deux vingt-et-une semaines de congé spécifique. Il s’agit de la deuxième fois que le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy augmente la durée du congé paternité puisqu’il avait déjà procédé à un doublement de cette durée en janvier 2017. Elle était ainsi passée de deux semaines à un mois, là aussi suite à une demande de C’s, qui en faisait une condition sine qua non pour soutenir le PP lors du vote du budget de l’État au Congrès des députés.

À terme, l’objectif affiché d’Albert Rivera et de ses partisans est de donner la même durée de congé aux pères et aux mères après la naissance d’un nouvel enfant, notamment afin de faciliter le retour à l’emploi des mères, qui renoncent souvent à leur carrière pour s’occuper de leurs enfants. Selon les dernières données fournies par le Ministère de l’Emploi et de la Sécurité sociale, dirigé par Fátima Báñez, le nombre de demandes de congé paternité a augmenté de 0,05 % au premier semestre 2017 par rapport au premier semestre de l’année 2016 (soit un total de 122 183 demandes). Les communautés autonomes qui ont réalisé le plus de demandes en ce sens sont la Catalogne (22 815), la Communauté de Madrid (20 680), l’Andalousie (19 576) et la Communauté de Valence (12 428). Par ailleurs, depuis 2007, le congé paternité est indépendant du congé maternité.

Source : http://www.abc.es/sociedad/abci-ciudadanos-acuerda-pp-aumentar-cinco-semanas-permiso-paternidad-partir-2018-201709221051_noticia.html

Le Ministère espagnol de l’Intérieur assume désormais la coordination de la police autonome catalane

mossos-gobierno-interior-kb0C--620x349@abc
Des membres de la police autonome catalane, les Mossos d’Esquadra, sur une image d’archive (photographie : EFE et ABC)

C’est le Ministère public qui l’a demandé ce samedi 23 septembre et le Ministère de l’Intérieur, dirigé par Juan Ignacio Zoido, a accepté de se plier à ladite demande : il assume désormais le contrôle et la coordination de la police autonome catalane, les Mossos d’Esquadra, dont l’implication dans la lutte contre le référendum séparatiste illégal et illégitime du 1er octobre prochain est pour le moins faible et incertaine. Dans le même temps, Juan Ignacio Zoido a envoyé une lettre au conseiller régional catalan à l’Intérieur, Joaquim Forn, afin de lui signifier l’envoi dans la communauté autonome d’unités supplémentaires de la police nationale et de la Garde civile (équivalent de notre gendarmerie) qui doivent seconder les membres des Mossos d’Esquadra dans leur tâche de maintien de l’ordre et de la légalité.

Joaquim Forn n’a évidemment pas manqué de réagir sur les réseaux sociaux en affirmant que le gouvernement central espagnol, présidé par le conservateur Mariano Rajoy (Parti populaire), suspendait de facto l’autonomie catalane – alors que c’est l’attitude contraire à la loi du président de la Généralité de Catalogne, Carles Puigdemont, et de son gouvernement qui est responsable de la fin d’une partie de l’autonomie régionale.

Source : http://www.abc.es/espana/catalunya/abci-interior-asume-coordinacion-fuerzas-seguridad-cataluna-201709231232_noticia.html

Les enfants, cibles privilégiées de l’embrigadement ou de la discrimination des séparatistes catalans

LAVANGUARDIA_G_13253017859-kp0-U431465064104ieG-992x558@LaVanguardia-Web
De très jeunes enfants catalans qui agitent des drapeaux indépendantistes… sans bien avoir conscience de ce que cela signifie (photographie : Àlex Garcia et La Vanguardia)

Comme dans tout régime qui vire peu à peu à la dictature, la Généralité de Catalogne a recours depuis de nombreuses années (et plus encore ces derniers mois) à la jeunesse et même souvent à l’enfance pour défendre ses thèses séparatistes et ainsi manipuler des esprits plus fragiles que d’autres et encore en formation. J’ai déjà parlé sur ce blog du caractère discriminatoire du systèmes éducatif catalan tel qu’il s’est progressivement mis en place à partir des années 70 et des profondes inégalités entre élèves qu’il contribue à creuser (sans compter son état de déshérence financière alors que des centaines de millions d’euros sont englouties dans la folle course à l’indépendantisme). Mais voilà que les autorités séparatistes et leurs affidés ont franchi un nouveau pas puisque plusieurs établissements d’instruction secondaire ont demandé à des parents d’élèves d’autoriser leurs enfants à manquer les cours dispensés par leurs professeurs pour participer à des manifestations contre le gouvernement central espagnol et les décisions de la Cour constitutionnelle de notre voisin ibérique.

Le ministre espagnol de l’Éducation, de la Culture et du Sport, Íñigo Méndez de Vigo, qui est aussi le porte-parole du gouvernement conservateur de Mariano Rajoy, a déclaré le vendredi 22 septembre, à l’issue du Conseil des ministres, que le gouvernement avait décidé de mener son enquête afin de savoir quels étaient les responsables exacts de ces agissements. Attrapés dans le scandale qui consiste à retirer des enfants de leurs écoles (où ils sont censés acquérir un savoir structurant) pour les manipuler à des fins politiques, les centres scolaires concernés ont affirmé que ces autorisations écrites n’étaient pas de leur fait. De son côté, un Garde civil catalan, qui a témoigné sous couvert de l’anonymat auprès de la radio espagnol COPE, a expliqué qu’il avait désormais peur d’envoyer son propre enfant à l’école car il savait que bien d’autres élèves (embrigadés par leurs propres parents) et bien des adultes allaient les désigner comme de « mauvais Catalans » et les harceler.

L’on est loin de la « révolution des sourires » si pacifique que les indépendantistes prétendent mener…

Sources : http://www.lavanguardia.com/politica/20170922/431465064104/gobierno-investiga-permisos-escolares-ninos-manifestaciones.html?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_content=politica&utm_campaign=lv et http://www.cope.es/noticias/herrera-cope/permitire-que-senalen-hijo-colegio-cataluna-porque-quiera-referendum_158460

Cristina Cifuentes propose de nouveaux travaux en matière d’infrastructures dans la Communauté de Madrid

cifuentes-debate-region-kV3G--620x349@abc
La présidente de la Communauté de Madrid, la conservatrice Cristina Cifuentes, lors d’une intervention au Parlement régional en plein débat sur l’état de la communauté autonome (photographie : EFE et ABC)

C’est lors de son discours à l’occasion du débat sur l’état de la région que la présidente de la Communauté de Madrid, Cristina Cifuentes (Parti populaire), a annoncé une série de mesures qui passeront notamment par de grands travaux en matière d’infrastructures. C’est ainsi qu’elle a révélé que la région se chargerait d’agrandir la ligne 11 du métro de la capitale espagnole, qui court aujourd’hui de la station Plaza Elíptica à la station La Fortuna, et qui devrait, une fois les travaux achevés, être reliée à la station Conde de Casal, sur la ligne 6 – soit un parcours rallongé de 6,5 kilomètres environ. Par ailleurs, Cristina Cifuentes a également expliqué que la Communauté de Madrid réalisera une connexion entre la gare de trains de banlieue de Sol et la station de métro Gran Vía pour un budget prévisionnel de 18 millions d’euros et un calendrier qui devrait s’étendre jusqu’au début de l’année 2019. Au chapitre des travaux toujours, elle a annoncé que l’ancien hôpital de la Porte-de-Fer, aujourd’hui abandonné, sera reconverti en centre de soins pour des séjours de moyenne durée. La région devrait également embaucher davantage de travailleurs chargés d’accompagner les personnes âgées ou handicapées.

La Communauté de Madrid renouvellera également les accords dits « BESCAM », qui organisent une police de proximité dans de nombreuses communes de la région, et engagera la rénovation de nombreux établissements d’enseignement du second degré. Outre de nouvelles déductions pour les travailleurs indépendants, Cristina Cifuentes veut présenter en 2018 un vaste plan industriel et octroiera aux commerçant des aides pour un montant de 56 millions d’euros. Notons également, dans la liste des annonces faites par la présidente régionales, un plan pour inciter les plus jeunes à lire davantage d’ouvrages, un autre plan contre le dépeuplement rural destiné aux communes de moins de 2 500 habitants et l’ouverture au public du jardin historique de la Ferme-de-Vistalegre.

Source : http://www.abc.es/espana/madrid/abci-cifuentes-ampliara-linea-11-metro-y-conectara-cercanias-gran-201709211433_noticia.html

Un exemple du pouvoir économique et fiscal des communautés autonomes espagnoles : les droits de succession

1336412846867DiazOriginal
La présidente de la Junte d’Andalousie, la socialiste Susana Díaz (photographie : Junte d’Andalousie)

Le mercredi 20 septembre, dans le cadre d’un pacte entre le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) et le parti Citoyens (C’s) afin de pouvoir mettre en place le budget régional de l’année 2018, la présidente de la Junte d’Andalousie, Susana Díaz, a accepté de réformer l’impôt sur les successions et les dons, entièrement géré par la communauté autonome. Désormais, les transferts de capitaux et de biens entre parents et enfants ou entre conjoints seront exemptés de toute taxe jusqu’à un million d’euros (contre 250 000 euros auparavant), de telle sorte que 95 % des Andalous ne payeront plus de droits de succession dès lors que cette modification aura été définitivement approuvée. L’impôt sur la succession et les dons est l’un des meilleurs exemples des larges marges de manœuvre fiscales laissées aux autonomies espagnoles, qui gèrent ainsi de nombreuses taxes et manipulent de grosses sommes d’argent.

Jusqu’à la modification de cette loi, l’Andalousie était la communauté autonome qui taxait proportionnellement le plus les biens et capitaux liés à l’héritage ou aux dons, juste devant les Asturies et l’Estrémadure. En 2016, la Catalogne était cependant l’autonomie qui, en termes absolus, récoltait le plus d’argent en la matière avec 427 millions d’euros ; l’Andalousie la suivait, avec 366 millions d’euros. La Communauté de Madrid occupait la troisième place du podium avec 307 millions d’euros. Ces chiffres masquent en réalité d’immenses disparités puisque les îles Canaries, la Cantabrie, la Communauté de Madrid, La Rioja ou les îles Baléares taxent très peu les successions et donations du vivant d’une personne, contrairement aux Asturies, à l’Estrémadure ou à l’Aragon. C’est pourquoi le Conseil général des Économistes et le Registre des Conseillers fiscaux (REAF) demandent désormais un aplanissement de cet impôt afin de fixer des seuils minimaux au niveau national.

Source : http://www.abc.es/economia/abci-diferencias-mapa-regional-impuesto-sucesiones-201709211354_noticia.html

Conseil de lecture : le blog de Carmen Álvarez Vela

Madrid_-_Congreso_de_Diputados_1
La porte des Lions du Congrès des députés, chambre basse des Cortes, le Parlement espagnol (photographie : Société espagnole de Documentation et d’Informations scientifique)

Pour nos amis et lecteurs qui seraient suffisamment versés dans la langue de Cervantes, je vous recommande ce blog tenu par l’Espagnole Carmen Álvarez Vela. Elle y invite différents intervenants pour évoquer de nombreux sujets d’actualité politique, économique, sociale, culturelle, etc. de l’Espagne, depuis les soubresauts parlementaires qui agitent le pays jusqu’aux problèmes posés par l’instruction publique ou la démographie : https://carmenalvarezvela.wordpress.com